Présidence du Comité de Liaison des Institutions Ordinales


PRESIDENCE DU COMITE DE LIAISON DES INSTITUTIONS ORDINALES

Madame Isabelle ADENOT   Ordre National des Pharmaciens

4, avenue Ruysdaël        75379 PARIS CEDEX 08


Madame la Présidente,

Je me présente, Chantal Viodé née le 5 février 1954 à Corbigny, handicapée à 80 % suite à un accident de la route survenu à l'âge de 20 ans.

Fortuitement, je suis tombée sur votre fiche en faisant des recherches sur google relatives à un notaire qui porte le même patronyme que vous : ADENOT.

Sauf erreur, il semblerait que vous soyez présidente du Comité de Liaison des Institutions Ordinales (C.L.I.O) depuis le 5 juillet 2012 qui regroupe entre autre le Conseil Supérieur du Notariat.

Donc, je vous approche pour le patronyme et dans le cadre de votre fonction de présidente du C.L.I.O.

Je suppose que si vous avez été élue à ce poste prestigieux c'est pour vos qualités et c'est dans le cadre de ces qualités que je vous approche.

C'est avec intérêt que j'ai pris connaissance de votre lettre datée 05/09/2012 et signée par tous les présidents des ordres des professions juridiques et judiciaires et que vous avez adressée à Madame Marisol TOURAINE, Ministre des Affaires Sociales et de la Santé (copie n°1) ainsi que sur votre « Pourquoi une institution ordinale » (copie n° 2)

J'éprouve de grosses difficultés avec l'Etude Notariale Hubert ADENOT et Sophie KOWAL de Corbigny, dans un problème de succession et je dois reconnaître que si les termes ou valeurs surlignés dans ces lettres étaient respectés, ma situation n'en serait pas à ce point.

Mes seules ressources sont ma pension d'invalide d'un montant mensuel de 643 €. Vous comprendrez qu'avec de tels revenus je ne puisse me défendre et surtout me faire entendre. Je suis totalement ignorée. Mais selon votre profession de foi, cet handicap ne devrait pas jouer en ma défaveur lorsque je suis contrainte et forcée de passer par une profession qui compte parmi celle regroupant le comité C.L.I.O.

Je crois que le C.L.I.O est là aussi pour faire respecter les valeurs républicaines et le respect des codes de déontologie de ces ordres.

Je me tiens à votre disposition pour toutes informations complémentaires.

Actuellement, il est beaucoup question de transparence et de la crise, terme que vous reprenez dans votre article.

Dans mon dossier, je dois reconnaître qu'il n'y a point de transparence, le notaire se refuse de me communiquer les copies des minutes archivées à son étude que je lui ai demandées.
Il ignore le principe « LE MORT SAISIT LE VIF ».

Qui plus qu'un notaire doit connaître et respecter ce principe ?

Quant aux moyens pour régler la crise, il conviendrait de combattre le mensonge, l'hypocrisie, la cupidité, les faux semblants et les faux fuyants.

Vous constaterez que ma lettre n'est point officielle. La suite que vous souhaiterez y donner par votre libre arbitre, me guidera dans ma compréhension, à savoir si votre article est uniquement un exercice de rhétorique et pour convaincre qui ?

Ou savoir que votre article est la plus intime de vos convictions reconnues par vos paires et qui les ont motivées pour que vous soyez leur présidente.

Je ne comprends pas cet entêtement dans mon dossier où l'enjeu de ma part représente 30 000 €. Je me rendrais compte de ce que vaut une rhétorique ou une conviction pour 30 000 €. Sachant que 30 000 € dans mon cas représente beaucoup plus que 30 000 € pour la professionnelle que vous êtes.

Ce qui est le plus intriguant, c'est cette protection que bénéficie mes frère et sœurs sachant et je peux le démontrer, qu'ils ont intentionnellement allégé les économies de mes parents au moment de leur vie où ces économies auraient trouvées leur utilité pour leurs besoins vitaux. Ces manœuvres d'allègement, très réfléchies, ont eu comme but d'obliger les services sociaux de la Nièvre de subvenir à mes parents.

Je vous communique la copie n°3 d'une lettre émanant de l'étude notariale et adressée à mon conseil Maître BOURDIN de Chartres. Suite à ce courrier, ce conseil a préféré abandonner ma défense.

Je ne sais pas si cette façon de procéder correspond avec le principe suivant, « chacun a droit à ce que sa cause soit entendue » article d'un traité européen ratifié par la France.

Je me permets simplement d'adresser copie de votre article « Pourquoi une institution ordinale »à la Chambre des Notaires de la Nièvre, au président du Conseil Supérieur du Notariat, au Barreau des Hauts-de-Seine et à la Juge chargée de surveiller les opérations de compte liquidation et partage des communautés de biens et successions de mes parents. Ces ordres faisant partie du CLIO, ils devraient être sensibles à ces valeurs qui sont leurs motivations et leurs obligations.

Outre les 30 000 €, c'est surtout la valeur morale qui me  motive.

Je ne crois pas qu'un notaire aurait agi ainsi en votre défaveur et si tel avait été le cas au poste que vous occupez, les choses se seraient régularisées.

En votre qualité de présidente du C.L.I.O et pour votre information, demandez au CSN, si la déontologie notariale autorise un notaire à établir un acte authentique qui doit être efficace et licite, donner 100 % des biens propres à son petit-fils en avancement d'hoirie en présence de quatre enfants.

Je vous joins également 5 courriers adressés au notaire, qui porte le même patronyme que vous, et qui sont restés sans réponse. (copie n°4,5,6,7 et 8)

Je vous remercie par avance de l'attention que vous porterez à ce courrier et je vous prie de croire, Madame la Présidente, en l'expression de ma considération distinguée.

C.L.I.O : Comité de Liaison des Institutions Ordinales

Le C.L.I.O Isabelle Adenot :

C.L.I.O Brigitte Longuet:

Colloque du C.L.I.O :

la présidente du Comité de liaison des Institutions Ordinales est madame Isabelle ADENOT.















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